Il y a cocu et cuckold qui est une façon plus perverse de pratiquer pour une femme dominante

Depuis qu'ils se sont aventurés dans le libertinage puis dans le cuckold Sabine est d'un sadisme psychologique extrême. Lors d'une soirée organisée par le réseau Fessestivites, elle a constaté que son mari était excité quand elle s'envoyait en l'air avec d'autres hommes. En grande gourmande, cette infirmière multiplie les rencontres et a même pris un amant régulier qu'elle martyrise aussi en fonction des ses inspirations. Etant en bonne place pour les prises de sang et contrôles de la séropositivité, Sabine impose une prise de sang à son amant ce qui lui permet de baiser et de réaliser ses délires sans préservatif.

De l'hôpital où elle travaille, elle a récupéré des masques à oxygène en plastique afin de réaliser une de ses idées perverses. Son mari, l'attend dans le salon pendant qu'elle s'envoie en l'air sur la terrasse avec son amant habituel. La mélopée d'une femme comblée arrive aux oreilles de Paul excité comme un diable. Il se caresse sans pour autant aller jusqu'à la jouissance sa Maîtresse le lui a interdit.

L'amant ravi ayant quitté les lieux, Sabine entre dans le salon avec un sac à la main dont elle extrait deux masques à oxygène sous les yeux étonnés de son mari. Sabine pose le masque à oxygène sur le visage de Paul puis, à son grand étonnement, le pose ensuite sur son sexe seulement recouvert d'un magnifique collant.

• Respire et hume mes fragrances de l'amour petit cocu, profite bien de ces senteurs de la vie. Lui lance Sabine avec un sourire diabolique posé sur les lèvres.

Dépité, Paul fait donc ce qu'il lui est demandé. Bien que dans la réalité, il y ait plus le parfum du plastique que du sexe de sa femme, psychologiquement il a l'impression d'avoir le nez plongé dans l'intimité de sa Maîtresse. Il affiche une érection monumentale malgré l'humiliation imposée, exposant ainsi encore une fois ses besoins de soumission.

Le plastique manquant de « saveur » pour une gourmande comme Sabine, elle retire les masques pour venir poser son sexe encore englué de sperme sur la bouche de son mari. Elle se frotte sur lui comme une chatte en chaleur en l'obligeant à aspirer et à bien respirer. Elle veut sentir sa langue à travers son collant puis entendre sa respiration. L'excitation de Sabine devient démesurée, ses doigts magnifiquement manucurés s'attaquent soudain au collant plutôt que de le retirer. En un rien de temps, son sexe glabre est à l'air libre, elle va pouvoir apprécier le contact doux et chaud d'une bonne langue de soumis.

• Lèche cocu, lèche bien, rentre ta langue il doit rester un peu de sperme à récupérer ! Crie Sabine en lui écrasant le visage.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, Paul aime les insultes et humiliations venant de sa femme. Une autre personne lui parlerait ainsi, il la réduirait en bouilli mais là, tout est différent, c'est sa Maîtresse qui lui parle. C'est donc avec conviction qu'il lèche la vallée des plaisirs, qu'il introduit sa langue le plus profondément possible dans la grotte des plus lubriques inspirations. Quand Paul s'aventure dans le délicat pertuis pour venir titiller la rose étoilée épargnée aujourd'hui, Sabine fait volte face pour s'installer confortablement sur le canapé.

• Lèche-moi toute et fait-moi encore jouir j'ai envie, si tu y parviens tu auras le droit de te branler.

Ce challenge donne des ailes à Paul, ou plutôt, renforce ses convictions câlines et linguales. C'est avec un dévouement total qui dévore la perle clitoridienne à peine cachée en son écrin. Il passe de la rose à la grotte puis à la perle avec une telle intensité, que Sabine ne tarde point à surfer sur les rives de la jouissance. Quelques minutes plus tard, elle est terrassée par un orgasme paroxystique qui la laisse au bord du vertige.

Bien qu'elle soit encore dans les brumes évanescentes de sa jouissance, Sabine ne perd pas le nord et impose à Paul d'aller chercher le bocal au congélateur. Sans trop savoir à quoi servira ce bocal si ce n'est que pour un truc pervers, Paul va donc chercher le récipient où il devra déposer son sperme lorsqu'il aura éjaculé. Aux pieds de sa Maîtresse il se caresse donc pour atteindre à son tour le plaisir, puis, conformément aux exigences il récupère son sperme puis se précipite au congélateur pour ranger le précieux flacon.

A peine ont-ils pris la douche qu'ils s'embrassent avec fougue et réservent une table dans leur restaurent préféré.

C'était TSM, journaliste du réseau Fessestivites

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